dans les portes
Dans les portes qui s’ouvrent,
Dans la chaleur qui nait lorsque deux mains se touchent
Lorsque deux voix se mèlent et ne font qu’une bouche
Lorsque sur un visage on peut lire le reflet
De son propre regard
Dans la chaleur qui nait lorsque deux mains se touchent
Lorsque deux voix se mèlent et ne font qu’une bouche
Lorsque sur un visage on peut lire le reflet
De son propre regard
Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’en fuyant ainsi
La Vie, la vraie,
Celle qui bat chamade au cœur
D’une amitié ou d'un amour en pleurs
La Vie, la vraie,
Celle qui bat chamade au cœur
D’une amitié ou d'un amour en pleurs
Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il grimait sa vie
Sous des raisons faciles.
Ce qu'il ne savait pas
C’est qu’il manquait sa vie.
Sous des raisons faciles.
Ce qu'il ne savait pas
C’est qu’il manquait sa vie.
Vivre, vivre.
Au risque de l’erreur.
Vivre et se donner tout,
Faire tomber les masques.
Au risque de l’erreur.
Vivre et se donner tout,
Faire tomber les masques.
Vivre l’instant présent, Dûssions-nous
En Mourir...