Malin le petit !

Publié le par camelia

Malin le petit ! 


Un petit gamin se lève pendant la nuit pour aller aux toilettes.
En passant devant la chambre de sa grande soeur, il entend du bruit. 
Il colle son oreille à la porte et entend sa soeur qui dit :
Ho ! C'est bon… C'est Bon...!
Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner avec toute la famille,

 il demande au copain de sa soeur : 
Dis Pierre, c'est quoi que tu donnais à manger à Laetitia pendant la nuit,

elle disait que c'était bon ?
Pierre très embarrassé : Ha oui, c'était du chocolat !...
Ha ... Ha ... Menteur va ! Ce n'est pas vrai, c'était du saucisson.

J'ai retrouvé la peau sous le lit.!!!!!!! 

Publié dans histoire

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L
Bonsoir  sorry de passer que maintenant mais fatiguée et la semaine qui arrive est chargée entre les visites d'appart , le boulot le rangement et me vieillir d'un an j'aurais peu de temps mais je pense a toi  alors je triche un peu avec ce poéme .... pas de moi La Bonne Soirée <br /> <br /> <br /> <br /> Quel temps de chien! - il pleut, il neige; Les cochers, transis sur leur siège, Ont le nez bleu. Par ce vilain soir de décembre, Qu'il ferait bon garder la chambre, Devant son feu ! A l'angle de la cheminée La chauffeuse capitonnée Vous tend les bras Et semble avec une caresse Vous dire comme une maîtresse, « Tu resteras ! » Un papier rose à découpures, Comme un sein blanc sous des guipures Voile à demi Le globe laiteux de la lampe Dont le reflet au plafond rampe, Tout endormi. On n'entend rien dans le silence Que le pendule qui balance Son disque d'or, Et que le vent qui pleure et rôde, Parcourant, pour entrer en fraude, Le corridor. C'est bal à l'ambassade anglaise; Mon habit noir est sur la chaise, Les bras ballants; Mon gilet baille et ma chemise Semble dresser, pour être mise, Ses poignets blancs. Les brodequins à pointe étroite Montrent leur vernis qui miroite, Au feu placés; A côté des minces cravates S'allongent comme des mains plates Les gants glacés. Il faut sortir ! - quelle corvée ! Prendre la file à l'arrivée Et suivre au pas Les coupés des beautés altières Portant blasons sur leurs portières Et leurs appas. Rester debout contre une porte A voir se ruer la cohorte Des invités; Les vieux museaux, les frais visages, Les fracs en coeur et les corsages Décolletés; Les dos où fleurit la pustule, Couvrant leur peau rouge d'un tulle Aérien; Les dandys et les diplomates, Sur leurs faces à teintes mates, Ne montrant rien. Et ne pouvoir franchir la haie Des douairières aux yeux d'orfraie Ou de vautour, Pour aller dire à son oreille Petite, nacrée et vermeille, Un mot d'amour ! Je n'irai pas ! - et ferai mettre Dans son bouquet un bout de lettre, A l'Opéra. Par les violettes de Parme, La mauvaise humeur se désarme, Elle viendra ! J'ai là l'Intermezzo de Heine, Le Thomas Grain-d'Orge de Taine, Les deux Goncourt, Le temps, jusqu'à l'heure où s'achève Sur l'oreiller l'idée en rêve, Me sera court. <br />  <br /> <br /> <br />   Théophile Gautier (1811-1872) <br /> <br /> <br />
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C
Coucou.... le coup d'oeil des enfants est infaillible bises Camelia
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